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Margaux Heller,
auteure-compositrice-interprète
Ayant grandi entre la France et l’Espagne, Margaux gratte des textes depuis l’enfance.
Passionnée de littérature et de théâtre elle découvre le slam à l’adolescence et s’amuse à raconter des histoires sur des accords de guitares bien avant de savoir chanter. Après des études littéraires en prépa (hypokhâgne - khâgne) puis un master à Sciences Po Paris elle fait le choix de renoncer au monde de l’entreprise pour embrasser une carrière artistique.
D’abord comédienne, elle cherche son mode d’expression : des scènes de théâtre aux courts métrages auto-produits dont elle fait aussi la musique, Margaux est une artiste touche à tout et autodidacte qui apprend au fil des années à dompter les logiciels de montage et de production musicale.
Après, la sortie d’un premier EP en anglais en 2020, elle reprend l’écriture en français et publie deux titres « faits maisons » l’année dernière : Coule et Sauvage.
Elle a ensuite écrit-composé et arrangé les 12 chansons de son premier album avant de lancer avec succès une campagne de crowd-funding qui a levé près de 16 000€ en moins de 3 semaines pour l’aider à financer l’enregistrement de l’album en studio.
Entrée en studio au mois de mars avec les équipes de Sylvain Rabbath (Museum Productions : M, Keziah Jones, Polo&Pan, Corinne fille de ta région, Guillaume Grand etc.) elle est en plein dans la fabrication de l’album qui sera publié fin 2022.
Pour la scène, Margaux a collaboré avec Alain Cluzeau (Olivia Ruiz, Paris Combo, Bénabar) qui a fait la direction artistique d'une série parisienne (le NOPI, les Disquaires, le Bus Palladium, etc.). Entourée de quatre musiciens piliers de la scène jam parisienne (François Faure, Thomas Braganti, Sacha Lounis et Maxime Aigon) et forte de son expérience de la scène en tant que comédienne, Margaux atteint la pleine expression du potentiel de son projet en live.
Son univers mélange des textes en français flirtant avec le rap et le slam, infusés de sonorités soul et empruntant à la mélancolie festive de la musique méditerranéenne.
Avec des titres comme : « Tu veux ma viande », « A nos amours lasses », « Mon Idéal », « Donne moi du verbe » ou « La fin des rêves »… Margaux raconte des histoires, des morceaux de vie scandés d’une voix chaude et authentique.
Concert /
« Vous reprendrez bien un peu de Margaux Heller ? » Étrange question, non ? Et pourtant, c’est bien celle qui pourrait vous venir à l’écoute de « Tu veux ma viande » le titre phare extrait de son premier EP.
Voix suave et torride, mots crus et directs joliment ciselés par Museum son duo de producteurs.
A la vie comme à la scène Margaux interroge son rapport à la féminité et à la sensualité. Une image d’ultra-femme qui lui colle à la peau, qu’elle bouscule et rature…
Margaux est née d’une mère juive marocaine et d’un père absent.
Elle a grandi entre le Maroc, la France et l’Espagne. A douze ans, après qu’on lui ait offert sa première guitare, elle couche sur des premiers accords le premier journal de sa vie. Et c’est ainsi qu’elle est entrée dans la musique …par les mots !
Depuis, elle joue avec humeur, avec humour. Elle aime que les mots soient des sons et que les sons soient des mots.
Il ne fait donc alors aucun doute que cette phrase de Jacques Brel, « On entre dans une chanson par la musique et on y reste par les paroles » pourrait devenir sa devise.